PIT

où j’ai voyagé. Je n’en reviens pas. Qu’est ce qui n’a pas marché ? Il fait déjà nuit. Le travail m’attend demain. Je fais un tour dans les toilettes malgré moi. Faut bien que je me nettoie sinon je vous con

lexandra, tu

Oui d’un

Y a-t-il u

t Olivier, lais

eux pas te laisser

es bras) Et si je n

cutons. Toi-même tu connais le quartier.

te côté de lui qui fait semblant d’arranger son pani

la guerre. Nous ne sommes plus des e

tais tu same

vier

: Je t

étais ici (d’u

: Es t

r : Oui

-tu encore des rel

e vas pas remett

Si je

t’ai dis que nous so

fois où nous nous sommes vu

vier

eant vers sa commode, je prends la photo que je jet

par les événements q

donné ta lan

s Alexandra, je va

ier ? Je t’en ai donné la p

’avais peur d

action ? Pardon, je travaille

l’entends me call. Est-ce que je gère ça. Il ferme s

andra, attends q

énerver ici en route. Don

on anniversaire samedi et quand je

facile comm

érité. Mon ami et elle ont

Je m’e

xandra, ne rent

urpris. Vous les gens de l’Ouest avez l’habi

pas cela. Tu sais q

dis ça lorsque je suis rentrée ou

vais peur que t

Mo

: tu me

i :

lui répondre. Je rumine je suis en rage.

de ne pas avoir de retour, il me wait à la fameuse colline un soir. Je le vois et mon cœur fait un bond dans ma p

: Bonsoi

: Bo

u m’as assez

es ? (en le regard

nnais avoir merdé. Entre elle et moi, il y’a pl

a nuit po

es excuses so

is que la nuit

ris. Puis je t’accomp

là, tu demandes pourquoi

semaine suivante, le même scénario se répète. Je lui ai pardonné mais je le laisse encore mariner. Samedi matin, je décide de passer la journée

s là ? Je suis c

: Mo

ise et m’assied

mment s’est pa

ssez bien

parce que tu n’étai

là et tu es

: Merci

notre commande. Après ce repas, l’heure est venue de rentrer. Comme on dit communément les bonnes choses ne durent pas. Dans la chambre, je me jette sur le lit déjà trop pleine de nourriture. Endormie depuis un bon bout de temps, quelque chose m’effleure. Je change de poso et me plonge plus dans le sommeil. Cela persiste. Mon sein est dégagé de mon soutif. En effet, je me suis déshabillée car la chaleur voulait ma mort. A cet

privilégie plus les midis. Il aime que je m’arrête à la « boulangerie Centrale » pour y acheter le pain et que je prenne aussi les avocats devant la dite boulangerie. Je wanda tou

t en deux étapes. J’ai demandé une permission de trois jours à déduire sur mon congé annuel pour aller composer. Dans l’en

otre mère, pries encore pour nous ». Trop fière de moi quand même. Tout le monde est joyeux. Mon père a voyagé pour la France. Avant de partir, nous avons eu un échange houleux car je n’ai pas été d’accord qu’il marg

ouang » donc étrangers (dans la paix ooh). La marginalisation est partout. Bref, je décide de m’inscrire à l’université de Yaoundé en faculté de droit. J’ai une petite voisine Leslie qui fera la même filière que moi. Je m’arrange à lui donner une somme de dix mille fcfa tous les mois pour qu’elle me fasse les photocopies des cours. Ainsi, j’assiste uniquement aux TD (travaux dirigés).

se, sur le chemin de retour, les gars me sortent le way que mieux nous allions dans un bar boire le jus au lieu de gaspiller les dos comme ça. Je suis offusquée. Quand je vous dis que les gens qui ont le frein à la main sont difficil

A (institut internationale des assurances

j’ai connue au Lycée Technique de Ngoa ekelle a son frère qui a fait l’université de Buea. Il a eu son master. A l’occasion de cela, il organise une fête pour le célébrer. Ces deux évén

e voudrai te dem

: je t

e a son frère qui a eu le mas

t où est mo

ai décaler le r

: pas

Sil te p

tu me l’as de

ord, je vais

odeurs sur moi quand même. Je demande à mon frère Dieudonné de m’aider dans le choix de ma tenue. Lui et moi, nous nous entendons assez bien. Il est mon aîné de trois ans et est d’un calme olympien. Je lui présente deux tenues à savoir une robe bustier et un pantalon avec fentes de chaque côté et un haut assorti avec des cordes au niveau de la devanture. Il préfère que je porte l’ensemble pantalon beige. Je m’habille et je chausse une sandale de la même couleur ainsi qu’un pull car il fait frisquet. Je suis frileuse de nature et vous-même vous connaissez le climat de Yaoundé. J’accroche un petit sac, petites gouttes de parfum aux coudes, derrière les oreilles, au cou et hop suis en route avec mon frère. Il

ie c’est comment (en

Ca va

j’ai cru que tu n

en dis que je faisais un repa

pensais que tu

t’appelle pas ? Abe

comme chez to

rs ont envahi mon nez donc

je te sers comme tu

u poses

tourne la tête de gauche à droite, rien. Une impression de plus et là boum. Mon cœur manqu