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A LA RECHERCHE DU VRAI AMOUR

A LA RECHERCHE DU VRAI AMOUR

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Résumé

Table des matières

Après avoir surpris sa fiancée en plein ébat sexuel avec un autre homme, Richy Plume, un jeune homme d'affaires qui est le fils d'un grand homme d'affaires très riche de la ville, décide de ne plus se lancer dans une autre relation amoureuse. Il avait peur de goûter encore et encore le plat de la déception que les filles avec qui il se mettait lui faisaient goûter. Mais voilà qu'après avoir essayé à nouveau la même chose s'était encore produite. Il décide alors d’aller se réfugier dans l'une des maisons que son père construisait pour en faire un orphelinat. C'est là qu'il a rencontré Clarisse, une belle et séduisante demoiselle qui a su toucher le cœur de Richy. Mais pour ne pas se faire encore avoir par la déception, Richy décide de se faire passer pour un homme pauvre. Sans oublier qu'il doit faire face à beaucoup d’autres obstacles. Parce que Clarisse a été promise à un autre homme qui la voulait à tout prix pour épouse. Est-ce que Richy a su trouver cet amour qu'il désirerait? Est-il arrivé à donner vie à l’amour qui existe entre Clarisse et lui.?

Chapitre 1 Partie 01

Salut!!! Permettez-moi de me présenter, je suis Richy Plume, un jeune homme de 25 ans. À l'époque, j'étais titulaire d'une licence en finance et gestion et je travaillais au sein de l'entreprise de monsieur Mickael Plume, mon père, qui en était le directeur. Notre entreprise était réputée pour sa production d'ordinateurs et d'outils informatiques. Ma chère mère se prénommait Angela Quenum. Elle était une commerçante renommée, spécialisée dans la vente de pagnes de qualité, dans un grand marché de la ville.

J'appartenais à une famille aisée et nous étions trois enfants. J'avais la chance d'avoir deux sœurs adorables, Félicité et Carina. Elles étaient mes trésors et notre amour était réciproque. Une autre personne qui occupait une place importante dans ma vie était ma tante, Adjo ABOTSI. Elle était pour moi comme une deuxième mère, me prodiguant de précieux conseils sur la vie et les épreuves qu'elle pouvait nous réserver.

Mes meilleurs amis étaient Hubert et Diderot. Nous nous connaissions depuis nos années d'études secondaires. Ils étaient mes complices et nous passions toujours d'agréables moments ensemble. Hubert occupait le poste de directeur général adjoint dans une entreprise de commerce et de transport. Il était déjà en couple avec une personne qu'il aimait passionnément, et j'appréciais sincèrement leur relation. Quant à Diderot, il exerçait en tant que médecin dans un prestigieux hôpital de la ville. Il était constamment soutenu par sa petite amie, qu'il aimait de tout son cœur. En ce qui me concernait, j'étais toujours célibataire. Je n'avais pas encore trouvé de véritable relation, car toutes celles que j'avais rencontrées semblaient davantage intéressées par l'argent, me laissant le cœur brisé.

Je venais tout juste de fêter mes vingt-cinq ans et mes parents me questionnaient sur le nom de la jeune femme qui faisait battre mon cœur. J'étais bien embêté, car je n'en avais pas. Ils attendaient tous avec impatience que je leur présente ma petite amie, celle qui gouvernerait mon cœur, afin de pouvoir envisager le mariage et l'arrivée d'un petit-fils. J'espérais sincèrement trouver une relation authentique dans le futur.

Le week-end s'était annoncé très calme. Je cogitais dans ma chambre quand ma mère m'appela.

— Richy !!!! Viens s'il te plaît !

Je me levai pour aller la voir et, une fois proche d'elle, je demandai :

— Mère ! Tu m'as appelé.

— Oui, chéri. Rends-moi ce service ! Vas au supermarché "LES MERVEILLES" et fais-moi ces quelques achats !

Elle me tendit un petit bout de papier sur lequel étaient inscrits les produits dont elle avait besoin.

— Bien, mère ! Je me mets en route.

— Merci, mon fiston. À tout à l'heure.

Je mis rapidement un t-shirt rouge, arrangeai un peu mes cheveux, enfilai mes chaussures simples et démarrai ma voiture.

En moins de trente minutes, je me rendis au supermarché LES MERVEILLES.

— C'est si grand et si beau ici ! m'exclamai-je.

Je fis mon entrée et commençai à faire mes achats. Je lus sur le bout de papier « UN GROS BISCUIT "JE T'AIME" DESTINÉ À TOI ». Mon cœur s'illumina et je ne pus m'empêcher de sourire. Ma mère était très comique et ne faisait que me chouchouter. À vingt-cinq ans, elle m'offrait un gros biscuit très chocolaté en plus ! Cette dame me comblait de joie.

Je finis les courses et ce n'était pas mal de choses. J'avais pris tout ce qu'elle m'avait demandé, et cela cachait même mon visage. Je réglai la facture et sortis du magasin. Je marchais quand mon téléphone sonna. J'essayai tant bien que mal de répondre à l'appel tout en protégeant les produits. Je ne fis pas attention et je heurtai violemment une dame avec mes achats. Elle venait aussi du supermarché puisqu'elle avait fait des achats elle aussi. Mais à cause de moi, tout ce qu'elle avait acheté était maintenant par terre. Je me sentais très gêné et me rabattis en même temps, posant mon sac.

— Je... suis désolé, madame. Je ne l'ai pas fait exprès.

Elle s'abaissa au même moment que moi et nous ramassâmes ses affaires ensemble. Mais au moment de nous relever, nos regards se croisèrent et je me rendis compte que j'avais renversé les produits d'une fée luisante. Elle était d'une beauté incomparable.

Je raclai la gorge et détournai mon regard.

— Je vous prie de m'excuser, dame... ?

— Rose.

— Dame Rose. Je ne l'ai pas fait exprès.

— Ne vous en faites pas.

— Merci, dame. (Lui tendant la main) Moi, c'est Richy. Ravi de vous avoir rencontrée.

— Ainsi que moi.

— Alors je peux vous déposer ?

— Non, merci.

— J'insiste. Comment laisser une si belle dame au milieu de la rue et aussi, le soleil est au zénith. Je propose juste de vous reconduire et je ferai attention à vos marchandises.

Elle sourit et je sentis dans ses yeux qu'elle acceptait. Nous marchâmes vers mon véhicule et je déposai nos achats dans le coffre arrière. J'ouvris la portière et elle monta. Je démarrai la voiture et nous prîmes la route. Bien qu'étant au volant, je ne pus m'empêcher de fixer la beauté qui se trouvait à côté de moi dans mon véhicule. Elle était si belle. N'était-ce pas encore une parmi tant d'autres qui blessent sans se soucier des sentiments des autres ? J'essayai de chasser ces idées de mon esprit et réussis à lui arracher quelques mots.

— Alors, où puis-je déposer l'Ange qui se trouve dans mon véhicule ?

— Vous pouvez vous arrêter au niveau de cette intersection. Ma maison est juste à deux pas.

— Compris !

Je me garai et elle descendit.

— Merci... Richy !

Elle me brandit la main et je fis de même.

— À un de ces jours... Princesse.

Je rentrai chez moi, sourire aux lèvres, et je remis les achats à ma mère. Elle me tendit le biscuit que je pris après l'avoir gratifiée d'un vivifiant bisou. Je montai dans ma chambre et repensai à cette dame, Rose. Je ne sais pourquoi je me sentais très heureux après l'avoir rencontrée. Je n'avais pas eu son numéro et je ne pouvais pas en demander puisqu'on venait à peine de se rencontrer. Peut-être que la chance me sourira un autre jour et que je la reverrai dans ce supermarché. Je ferai un tour de temps en temps, espérant la revoir. Supermarché LES MERVEILLES ! Tu nous fais vraiment découvrir des merveilles !

C'était le week-end et en même temps le début de mes congés. Oui, mon père m'avait accordé une semaine de congés et donc j'étais libre. J'avais décidé de rendre visite à Hubert. Ça faisait très longtemps que je ne l'avais pas vu. Je pris mon téléphone et composai son numéro. Après deux appels sans réponse, il finit enfin par décrocher :

— Oui, mon pote ! Mais qu'est-ce que tu fichais depuis ? Tête de truc !

— Ah Richy ! J'étais en déplacement. Et arrête de penser à autre chose. Alors, comment vas-tu ?

— En pleine forme et toi ?

— Super bien, frangin.

— J'ai envie de te voir demain, frère. On ne s'est pas vu depuis deux mois. Je veux revoir ta tête et tes blagues me manquent déjà.

— Ah ouais ? Richy, le mec délicieux. Mon Richy à moi !

J'éclatai de rire et il continua :

— Tu me manques aussi. On se retrouve devant le pressing Clear aux alentours de quinze heures. Je serai disponible et je te ramènerai à la maison.

— Bien reçu. À demain, frère.

— C'est ça. À demain, Rich !

Cet Hubert est si comique. Ses petites blagues me manquaient et le revoir me ferait vraiment du bien. Je m'allongeai puis fermai les yeux et me laissai emporter par le sommeil.

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Mis à jour : Chapitre 31 Partie 31   06-06 10:29
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1 Chapitre 1 Partie 01
03/07/2022
2 Chapitre 2 Partie 02
03/07/2022
3 Chapitre 3 Partie 03
03/07/2022
4 Chapitre 4 Partie 04
03/07/2022
5 Chapitre 5 Partie 05
03/07/2022
6 Chapitre 6 Partie 06
03/07/2022
7 Chapitre 7 Partie 07
03/07/2022
8 Chapitre 8 Partie 08
03/07/2022
9 Chapitre 9 Partie 09
03/07/2022
10 Chapitre 10 Partie 10
03/07/2022
11 Chapitre 11 Partie 11
30/07/2022
12 Chapitre 12 Partie 12
30/07/2022
13 Chapitre 13 Partie 13
30/07/2022
14 Chapitre 14 Partie 14
30/07/2022
15 Chapitre 15 Partie 15
30/07/2022
16 Chapitre 16 Partie 16
07/08/2022
17 Chapitre 17 Partie 17
07/08/2022
19 Chapitre 19 Partie 19
07/08/2022
20 Chapitre 20 Partie 20
07/08/2022
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