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SANS REGRET

SANS REGRET

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Résumé

Table des matières

Jackson un jeune messager a vélo qui par le pur des hasard d'un simple accident développa une passion pour le parkour. Que l'amour pouvait faire si grand, bien à ce que l'amour de Jackson pour Nicki l'aména à devenir un traceur professionnel qui oeuvrait dans des activités illicite. Mais cet amour ne dura pas si longtemps que le désir de vengeance qui animait Jackson de tué Mr Daven le chef d'un catel qui lui avait arraché sa bien aimé après l'avoir violé et tué. Jackson arrivera t'il à ces fins? Comment procéderai t'il? La nature lui viendra t'il en aide? Qu'est-ce que le destin réserve-t-il  à  Jackson ?  Découvrez tout ça Sans Regret, sans aussi manquez  amour, séduction, passion, libertinage et trahison avec Sans Regret.

Chapitre 1 Soirée émotif

Ne serait-ce qu'avant hier et bien après une journée épuisante où je devais bien filer sous la douche, prendre un bain et me mettre au lit pour un bon sommeil réparateur. Ce fut pat le plus pire de mes cauchemar que mon propriétaire se présenta à ma porte. Je crue bien en un premier temps qu'il serait encore une fois question d'une avancement d'une part de la somme de mon loyer mais non, la grande surprise était qu'elle voulait d'une oreille attentif. Elle ne voulait que discuter.

Je fut bien surpris et étonné qu'une femme de la trentaine et fermé la plus part du temps sur elle même voulait discuter avec le mec dont elle ne laisse même pas son fils s'approcher. Elle s'appelait Rose Mickson, jeune femme célibataire ou je devrais dire jeune mère célibataire, issue d'une famille modeste ayant hérité de la maison de ses parents après leur décès, en pleine ville et en parlant de ville ce n'était pas n'importe quelle ville, s'était bien la grande ville de New York. Je pourrai dire une fortuné compte tenu de l'emplacement de son héritage mais elle ne voulait vendre pour aller en acheter autre un peu loin dans une autre ville où la chèreté du court de la vie n'est encore si élevée. Mais dommage, elle y avait trop de souvenirs rattachée à cette ville où elle était née, la même ville ou je vis aussi le jour. J'aurais dire que cette maison était tout ce qui importait dans ça vie à part son enfant que l'irresponsable de mari qu'elle avait le lui ait délaissé. Mais par compartion vue ma misérable situation après que la banque ait saisi la maison de mes parents ou j'habitais avec ma mère, et oui mon père y avait mis un hypothèque et ce t'hypothèque venait juste en échéance quelque jours à après la mort de ma mère. Cela me fit bien un grand plaisir qu'elle n'était encore vivant pour vivre un telle enfer qui pourrait bien la donné un infarctus même si l'amertume, le regret et tout ces chagrin liés à sa mort me rongeait de l'intérieur. Et comme je le disais par compartion Rose ne pouvait rester indifférent à ma situation, d'après tout j'étais le fils de ça Mareine, elle me devait rien mais son geste, elle le devait bien à ma mère quand la banque fut venir pour la saisit de la maison. Rose me recueilli près il y avait cinq ans de cela et me fit comprise qu'après huit mois je devais bien commencer par la payé un loyer chaque fin du mois pour pouvoir assurer ma présence dans ces locaux et de la je devins son colocataire en partageant l'appartement d'en face avec qu'elle en contre partie d'une somme de cinq cents cinquante dollars américain (550$). Je ne pouvais ni contester, ni rien dire puisqu'elle n'était pas riche ou si riche que ses parents, elle n'était qu'une couturière dans une société de mode de la place. Et ce soir à onze heures (11h), après avoir entre-ouvert ma porte, je me retrouve derrière mon dos avec cette voix autoritaire.

-Jackson.... Jack... Jacki....

Cela me fit bien des frissons en un premier temps mais je finis par émis un soupir de ..........uuuh.! Puisque là je venais le plus vite que possible de savoir qui s'était, et bien s'était Rose.

Que me voulait-elle je ne pouvais savoir en un premier temps.

-Le lui lançai-je, ce n'est point encore la fin du mois, il en reste encore deux semaines si je ne me trompe Rose.

Je ne reçu point de réponse, même pas un je sais comme d'habitude. Même pas un geste, même pas un soupir, rien comme comportement qui pourrait me prouver qu'elle était bien là. Pas la moindre réponse pour qui pouvait me rassurer que mon interlocuteur qui venait de me lancer des mots qui semblait être mon nom soit encore présent. Pas un simple geste de mouvement a circulaire, je me tourna pour me rassurer de la présence de mon interlocuteur, Rose et à fin de me rassurer que la fatigue me jouait pas des tours.

D'un angle partielle et pas si parfait je vis bien quelqu'un de présent, une silhouette pouvant appartenir à la gente féminine et qui était bien figer a l'emplacement ou elle se trouvait, cela me fit pas une peur comme celle j'avais quand j'étais encore petit dans mon enfance ou les films de fantôme et d'esprit m'avait fichu dans un état de psychose où la moindre ombre ou ténèbres pouvant représenter la silhouette d'un être me fichais la touille. Son absence de réponse et sa silhouette difforme figer au milieu du jardin me fit compris que quelque chose n'allait surtout pas bien avec sa personne.

Je me retourna face a sa personne qui se trouvait bien a quelque mètre de moi et une fois face a sa grande mine, qui refletait un air d'une personne désespérément désespéré. Je compris aussitôt que quelque chose n'allait pas bien pour elle. Alors, je descendit les trois marches d'escaliers et une fois ayant pieds dans le jardin, je prononça son nom une première fois pour m'atirer de son attention mais rien comme réponse, ni geste. Alors je fis quelque part pour me rapprocher d'elle et là, elle se jette contre ma poitrine et commença par couler des larmes, accompagnée de quelques soupir de pleure. Je ne pouvais rien d'autre que de la blotti encore plus contre moi et dans mes bras. Je l'embrassa si bien, que sa présence me conforta. Je parle bien d'embrasser, ce n'était pas que je l'avais embrasser sur la bouche ou qu'on eut échangé nos salives mais non, je l'avais juste cajoler avec mes bras pour bien la conforté de ma présence et lui fais savoir qu'elle ne dérangeait pas mais que je la comprenait bien même si j'étais point encore mise au courant de sa situation, de ce truc qui la mis dans un pareil état jusqu'au point qu'elle vient ce recueillit près de ma personne.

-Mais Rose qu'as-tu? Que ce passe t'il? Il y a t'il un problème? Mais quelqu’un t'as faire du mal?

Cela était bien des questions que je lui lançai à l'oreille. Mais rien que des pleures qui prenaient d'amples amplitude. D'un coup de me fus sentir gêner de ne point pouvoir grande chose pour elle dans l'état dont elle ce trouvait et je ne pouvais non plus la rejetté ni marqué une indifférence à ça situation. J'y étais bien obligé d'y faire quelques choses pour remédier à la situation.

Alors me vins l'idée de l'invité à rentré dans l'appartement qu'elle m'a loué qui n'est rien d'autres la sienne pour discuter si elle veut. Bien ayant été lente à fait le premier part, elle parvenu à ce laisser à la marche, en me laissai la traîner jusqu'à l'intérieur de ma chambre. Mais, non s'était insensé, je ne l'ai fait qu'intro au salon, la chambre ce trouvait à des marches d'escaliers là haut. Quel idiot d'hallucinateur suis-je.!? Je me demandais aussi.

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