Les gens passaient la plupart de leur temps à critiquer, mais ils n'essayaient jamais de se mettre dans la peau de ces jeunes qui n'avaient pas d'autres choix que de se prostituer, ou même de voler afin de subvenir à leur besoin. La vie était injuste parfois mais on devait quand même lutter pour survivre, avec sa mère qui se retrouve à l'hôpital entre la vie et la mort, comment pourra t-elle lui payer cette opération qui allait lui coûter les yeux de la tête ? Est-ce que se sacrifier en vaudra la peine? Tombant amoureuse de son corps aux lignes parfaites , elle en était arrivée à aimer le plaisir qu'elle procurait aux hommes, Mahalia ne se serait-elle pas écarter du bon chemin? Tout un tourbillon d'événements allaient se produire.
Elle marchait pieds nus sur le trottoir, les cheveux longs en pagailles, habillée d'une petite robe démodée. La mine affreuse, Elle revenait de l'hôpital général, l'image de sa mère dans cette hôpital pitoyable, proscrée sur ce petit lit la tourmentait.
Elle n'arrivait pas à trouver un travail aussi petit soit-il.
En Haiti il fallait de l'influence, même ces jeunes ayant terminés leurs études universitaires avaient du mal à se faire embaucher ce serait alors absurde de penser qu' elle qui n'avait fait que ses études classiques pourrait trouver un travail.
La seule solution serait de faire du commerce, monter une affaire qui rapporterait, mais avec quel argent! Même ses amis avaient fini par la laissée tomber, il ne lui restait que quelques semaines pour obtenir son diplôme mais la maladie de sa mère avait tout gaché.
Elle ne pouvait plus travailler pour lui payer le dernier trimestre. Pensa t-elle avec desespoir. Et si sa petite maman mourrait sa vie serait fichue à jamais, Elle n'avait personne à part elle.
Mahalia traversa la rue pour se retrouver dans le quartier des gens de la haute, Elle passait par là pour rentrer chez Elle. Et à chaque fois qu'elle passait devant cette immense maison, la plus somptueuse de toutes, une colère noire s'emparait d'elle. Ces gens là avaient du fric, ils ne manquaient absolument de rien, tandis qu'elle, Elle avait à peine de quoi se nourrir. Bon sang que la vie peut être injuste.
Elle traversa la rue pour se retrouver dans l'impasse qui conduisait à sa maison, il faisait sombre, les gens du quartier avaient dejà fermés leurs portes. Son coeur faillit s'arrêter lorsqu'elle sentit une main se presser sur sa bouche.
-Hé tout doux ma belle...chutt. chuchota la voix masculine à son oreille. Elle voulue se dégager de lui mais celui ci la tint fermement, il était bien plus fort qu'elle.
-On va juste s'amusé ma beauté, une si jolie poupée ne devrait pas se promener ainsi seule dans les rues tu sais. Lui murmura t- il en lui passant la langue au visage.
Comme c'était dégoûtant! le coeur de Mahalia battait la chamade, Seigneur qui était-ce? Et qu'allait-il lui faire? L'homme la bascula par devant lui offrant ses fesses, il tenait ses mains par derrière, elle ne pouvait plus rien faire.
-Je vous en prie ne faites pas ça. Supplia t-elle en larmes. Mais celui ci ne l'écoutait pas, il fit monter sa robe d'une main,lui arrachant la culotte. Et c'est au moment qu' il allait la pénétrer qu'un coup l'assoma par derrière puis il s'écroula au sol.
-Hé ma chérie ça va ? Lui demanda la jeune fille l'aidant à se redresser. Mahalia était tellement sous le choc qu'elle ne pouvait prononcer un mot.
-Ne restons pas ici... tu habites tout près d'ici?...aller viens je t'accompagne. Elle indiqua à la fille sa maison sans pour autant prononcer un mot. Celle ci l'accompagna chez elle, ferma la porte et l'aida à s'asseoir.
-Ce sont de vrais pervers, ça va aller? Mahalia releva enfin la tête pour regarder celle qui l'avait sauvé des mains de ce salaud et vit que c'était une jeune fille d'à peu près son âge mais elle était habillée en petite tenue, de façon très vulgaire remarqua t-elle essuyant les larmes qui perlaient encore ses joues.
-Je... Je te remercie beaucoup. Lâcha t-elle enfin.
- Mais non c'est normal...mais je peux t'assurer que si je n'étais pas venue à temps, ce mec t'aurais baiser comme une chienne. Ria t-elle. Mahalia la fixa stupéfaite de telle vulgarité.
- Hum... désolée. Dit-elle reprenant son sérieux. Moi c'est Rachelle et toi?
-Mahalia. Répondit-elle simplement
- Eh bien Mahalia contente de t'avoir connue. Moi je m'en vais.
- Attends! Dit celle ci en se levant. Je t'en suis vraiment reconnaissante, merci.
-Ah non! Mais c'est normal... Moi j'habite tout près, je viens d'arriver...toi et moi on peut devenir potes ça te dis?
-Bien sûr, de toute façon je n'ai aucune amie ici. Mais tu n'as pas peur de rentrer seule à cette heure?
-Mais non, j'habite en face. Et je sais me défendre. Dit-elle en montrant son poing.
- D'accord...bonne nuit et merci encore. Après qu'elle soit partie Mahalia s'assura de bien fermer la porte. Si cette fille n'était pas arrivée à temps cet homme l'aurait violé! Et il aurait peut-être pu la tuer. "Merci mon Dieu, tout compte fait cette fille lui avait sauvé la vie".
Elle aurait perdue sa virginité de la pire manière qui soit...enfin, elle ferait mieux ne plus se promener aussi tard dans le quartier en petite robe. Et cette fille, Rachelle, elle était vêtue d'une vulgarité! Elle ferait mieux de ne pas en parler à sa mère pour ne pas l'inquieter d'avantage, la pauvre, elle avait déjà assez de problème comme ça.
Demain, elle irait encore chercher du boulot priant Dieu d'en trouver. Bien qu' il n'y ait aucun espoir. Autant d'argent pour sauver une vie, ces gens devraient avoir honte. "Et quel travail me paierait une somme pareille, quelle galère!" Se dit-elle, sans arriver à trouver le sommeil, et voilà qu'elle se retrouvait toute seule dans cette maison, la peur au ventre. Elle n'avait même pas de quoi prendre un petit déjeuner le lendemain.
Jamais elle n'avait eu faim quand sa mère pouvait encore travailler, celle ci faisait tout pour donner de l'éducation et de la nourriture à sa fille même si elle devait vendre jusqu'à ses derniers bijoux de valeurs que son père lui avait laissé... Sur ses pensées le sommeil l'emporta.
Le lendemain, après avoir pris une bonne douche, elle s'habilla d'un Jean et d'un t-shirt beaucoup trop grand lui donnant une apparence masculine. "Comme ça ils ne me remarqueront pas" se dit-elle s'admirant dans le miroir. "Maintenant il est l'heure pour toi d'aller en quête d'un boulot Mahalia, ensuite tu iras voir maman" se dit-elle d'un sourire face au miroir.
Elle entendit frapper à la porte, lorsqu'elle ouvrit un sourire se dessina sur ses lèvres, c'était sa nouvelle amie Rachelle.
- Mais rentre, j'allais justement sortir.
-Ah oui! De si bon matin! Elle acquiesça en la laissant pénétrer à l'intérieur.
-Tu vis seule ici? Où sont tes parents ?
- Je vis avec ma maman, mais elle est à l'hôpital...
- Oh je suis désolée est-ce grave?
-Oui... je vais voir si je peux trouver du travail.
-Tu veux travailler? Lui demanda t-elle curieuse. Sans lui laisser le temps de répondre, elle demanda :
-Tu ne cuisines pas? J'ai préparé du café, tu veux en prendre avec moi ?
-Ce serait avec plaisir mais...
-Aller viens, ne refuse pas, comme ça tu pourrais me raconter un peu plus sur toi. Sans répliquer, Mahalia la suivit chez elle.
Mahalia prit place autour de la table attendant que Rachelle lui sert le café et du pain beurré, elle contourna la pièce du regard.
C'était une maison modeste mais assez jolie, beaucoup plus que sa petite maison, le salon était bien arrangé et les meubles paraissaient neufs, la décoration était de bon goût. Rachelle lui servit et s'assied en face d'elle avec un sourire.
-Et toi ? Tu vis seule? Demanda Mahalia curieuse en savourant son petit déjeuner.
- Oui, je suis orpheline je me débrouille...alors tu cherches du travail ? Elle acquiesça en buvant son café. Dieu qu'elle avait faim.
- Et quel genre de travail?
-N'importe lequel à condition qu'il soit décent. Répondit-elle.
- Décent ? Ria celle ci.
- Quoi?
- On est au 21ème siècle ma chérie, si tu veux quelque chose il faut savoir l'obtenir. Et regarde dans quel pays tu vis!
- C'est-à-dire? Comme elle ne répondit rien, Mahalia demanda:
-Tu ne mènes pas une mauvaise vie, n'est-ce pas ? Demanda t-elle espérant une réponse satisfaisante. Celle ci se contenta de hausser les épaules et dit:
- Je me débrouille comme je peux. Mahalia termina son petit déjeuner puis se leva en souriant.
-Merci beaucoup vraiment... je dois partir maintenant.
-C'est rien ma belle. Et j'espère que tu trouves du travail... décent comme tu dis.
Mahalia marchait en direction de l'hôpital repensant à ce qu' il s'était passé la veille.
Cette fille l'avait sauvé et elle lui devait une fière chandelle, il ne fallait surtout pas qu'elle en parle à sa maman la pauvre elle en mourrait d'inquiétude.
La jeune fille pénétra dans la chambre où se trouvait sa mère qui était allongée sur un petit lit incommode, Dieu merci elle ne dormait pas, alors celle ci s'approcha d'elle s'asseyant sur une chaise lui prenant la main.
-Ma petite maman, comment tu te sens?
-Malia ma chérie. Dit la dame d'une voix un peu tremblante, elle était chaque jour un peu plus faible. Mahalia devait trouver au plus vite l'argent pour lui payer l'ablation et la chimiothérapie si non elle mourra.
-Dis moi ma chérie, as-tu trouvé du travail ? Demanda sa mère qui faisait tout son possible pour montrer à sa fille qu'elle n'allait pas si mal.
- Non maman, mais je vais en trouver ne t'en fais pas. Celle ci toussa ce qui inquieta Mahalia.
-Ça va maman ?
-Je... je ne veux pas que tu fasses de bêtises, surtout pas pour moi...
-Des bêtises? Tu ne me fais pas confiance maman? Tu sais très bien que je ne ferais jamais rien qui te decevrais... mais je vais trouver ce boulot je vais t'aider
- Écoute ma chérie, oublie moi un moment et penses un peu à toi... moi je suis déjà vielle et proche de la mort...
-Non ne dis pas ça, tu n'es pas si vielle et...et tu ne vas pas mourrir. Que ferais-je sans toi moi?
-La... la maison, si tu ne paies pas le loyer ce mois ci tu seras à la rue et je ne le veux pas. Dit-elle les larmes aux yeux.
- Ma petite maman, je me fiche que je sois à la rue. Tu crois vraiment que si je trouve du travail et que je reçois ma paye C'est au loyer que je vais penser! Non je te paierais les frais d'hôpitaux et quand tu seras remise sur pied on trouvera une solution ensemble comme on l'a toujours fait.
-Non ma fille...
-Stop, ne dis plus rien car je ne veux plus t'écouter dire ces choses.
Elle se leva puis déposa un baiser sur le front de sa mère. -J'y vais, je vais voir ce que je trouve, je reviens plus tard maman je t'aime.
Mahalia rentra dans un restaurant et se proposa comme serveuse mais il y en avait déjà assez , elle trouva un autre restaurant qui recherchait précisément une serveuse, mais le salaire était misérable en un mois elle n'aurait même pas la moitié de la somme qu'il fallait pour la chimio de sa mère, quel misère! C'est sûr qu'elle ne pourrait pas prendre ce job.
Après avoir passé toute la journée à courir après un job, elle était épuisée et avait faim, c'était devenu sa routine.
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